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Faire le choix de crèmes solaires bio, c’est opter pour le respect de l’environnement comme pour celui de sa santé. Mais, ces dernières ont la réputation de laisser des traces blanches sur la peau. Mais est-ce vraiment systématique ? Non, grâce au travail sur les galéniques mené par notre R&D.

Les crèmes solaires conventionnelles non Bio sont dotées de filtres protecteurs chimiques issus de la pétrochimie qui certes, ne font pas de traces sur la peau, mais dont l’innocuité est mise en doute aussi bien au niveau de l’Homme que des fonds marins. Elles sont suspectées de contenir des molécules qui pénètrent l’épiderme et agissent comme perturbateurs endocriniens. Les crèmes bio, quant à elle, se composent de poudres minérales naturelles qui peuvent parfois marquer mais protègent de façon respectueuse contre les méfaits du soleil. Bonne nouvelle, les galéniques dernière génération permettent de limiter au maximum cet effet qui sied parfaitement aux surfeurs mais un peu moins aux adeptes de la farniente.

Les filtres minéraux, qu’est-ce que c’est ?

 

Les écrans minéraux se présentent sous forme de poudres blanche qui restent à la surface de la peau. De cette façon, ils réfléchissent les UV tels de petits miroirs et constituent ainsi une protection physique.

Aux Laboratoires de Biarritz, nous utilisons pour notre gamme solaire un duo reconnu qui couvre l’ensemble du spectre UVA et UVB : le dioxyde de titane et l’oxyde de zinc qui ne bloquent pas les mêmes longueurs d’ondes.

En les associant, on opte alors pour une plus grande efficacité protectrice.

En choisissant seulement le dioxyde de titane, ce dernier laisserait davantage de traces blanches car la taille de ses particules serait plus importante pour obtenir une protection large spectre UVB/UVA.

Ainsi, en y ajoutant de l’oxyde de zinc, la largeur du spectre protecteur est optimisée et les traces blanches sensiblement diminuées.

Crédit photo Mathieu Hemon

La galénique, la clé anti-traces blanches

 

Vous l’aurez compris, le duo dioxyde de titane et oxyde de zinc assure une couverture optimale du spectre UV.

Mais parce que nous voulons proposer des soins ayant un fort agrément cosmétique, nous nous devons de garantir une galénique confortable grâce à une formulation de pointe qui facilite l’application de la crème.

En effet, plus l’application est facile, mieux la crème s’étale sur la peau et moins il y aura de traces blanches.

Un défi relevé par les Laboratoires Biarritz qui misent sur des textures agréables et sensorielles sans faire l’impasse sur la protection et en limitant au maximum les marques blanches.

 

 

Crédit photo Mathieu Hemon

Des traces blanches qui peuvent malgré tout rassurer

 

La plupart de nos crèmes solaires laisse peu voire aucune trace, même celles aux indices les plus élevés.

Si ces légères traces blanches peuvent sembler disgracieuses, pour les parents, elles peuvent être d’une très grande aide.

En effet, il n’est pas question de laisser un centimètre carré de peau sans protection, encore moins celle de nos enfants.

Les traces blanches sont ainsi un excellent indicateur pour savoir si le soin a été parfaitement appliqué et donc si l’enfant est en parfaite sécurité.

Ces filtres minéraux restent à la surface de la peau et sont particulièrement résistants à l’eau et à la transpiration pour une protection optimale.

Et si vraiment les vêtements accusent la présence de quelques traces blanches, sachez que le traditionnel savon de Marseille est magique contre les phases grasses !

 

 

Crédit photo Mathieu Hemon


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